Charles III, qui a récemment pris le trône britannique, est confronté à des révélations intéressantes concernant son succès croissant. Dans son édition du 24 novembre, Le Guardian a révélé des informations inattendues concernant une ancienne loi féodale, levant des doutes sur l’enrichissement de la couronne britannique.
Une fortune royale sous haute surveillance.
Le 75ème anniversaire du souverain britannique est au centre d’une controverse. Alors qu’il prépare les fêtes de fin d’année à Sandringham, l’image de la famille Windsor est ternie par une affaire de biens récupérés des citoyens décédés. Il semble que le roi, qui avait promis de faire des économies pour la Couronne en réduisant les allocations royales à son héritier principal, le prince William, soit actuellement en très bonne santé.
La succession de la Reine Elizabeth II
Selon Point de Vue, la richesse de Charles III est évaluée à 1 205 500 000 euros et inclut des biens personnels tels que des œuvres d’art et une collection de timbres, qui ont été hérités de sa mère, la reine Elizabeth II. Elle a pris soin des intérêts de ses enfants et a contribué à l’augmentation de la richesse personnelle de son successeur principal.
Soupçons de bénéfices sur les biens des personnes décédées
Selon le Guardian, en vertu d’une loi féodale qui n’a pas été abolie depuis le règne d’Henri IV, Charles III recevrait les biens de citoyens décédés récemment. La monarchie pourrait bénéficier considérablement de cette coutume archaïque. Le roi reçoit des revenus du duché de Lancastre, y compris des « bona vacantia », des actifs financiers appartenant à des personnes décédées sans testament ni héritiers directs.
Un usage controversé
Cette pratique, qui remonte à l’époque médiévale, suscite des préoccupations concernant l’éthique. Le Guardian critique l’utilisation de ces fonds, qui devraient généralement être alloués à des activités bénévoles. Cependant, seulement quinze pour cent des 60 millions de livres recueillis ces dernières années auraient été consacrés à des activités caritatives. Le reste serait consacré à l’enrichissement du roi, en particulier à la restauration des propriétés royales.
Des questions insolubles
Charles III n’a pas encore fait de commentaires concernant ces découvertes. Cette situation soulève des questions sur la gestion des biens et des finances de la couronne britannique car elle met en lumière une pratique peu connue du grand public. Le débat sur la transparence et l’éthique dans la gestion des biens royaux est ouvert par la révélation de ces informations par le Guardian, en particulier dans un contexte où la monarchie cherche à moderniser son image et à justifier son rôle dans la société moderne.
La monarchie britannique doit jongler entre la tradition et la modernité en raison de ces révélations sur la fortune de Charles III et son lien avec une loi féodale ancienne. La façon dont le roi Charles III abordera ces questions au début de son règne pourrait avoir un impact significatif sur la façon dont le public perçoit la monarchie, à une époque où l’éthique et la transparence sont de plus en plus valorisées.
[…] Charles III reçoit des bénéfices importants en tant que propriétaire du duché de Lancastre, un domaine royal fondé en 1399. Il s’agit d’un domaine de 18 433 hectares répartis dans plusieurs comtés anglais qui génère des revenus en gérant les biens fonciers et les actifs financiers provenant des « bona vacantia ». Cette pratique aurait rapporté près de 60 millions de livres à la couronne au cours des dix dernières années. […]
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