Par André Cros – Cette photographie fait partie du Fonds André Cros, conservé par les archives de la ville de Toulouse et diffusé sous licence CC BY-SA 4.0 par la délibération n°27.3 du 23 juin 2017 du Conseil municipal de la Ville de Toulouse ., CC BY-SA 4.0, WikiCommons
Bien que les bagues de fiançailles royales soient généralement impressionnantes en raison de leur taille, de leur valeur et de leur histoire, certaines sont plus uniques que d’autres. La bague de fiançailles de la reine Margrethe du Danemark est particulièrement spéciale parmi ses pairs.
La princesse Margrethe du Danemark, alors princesse, a rencontré Henri de Laborde de Monpezat, un diplomate français, au début des années 1960, alors qu’elle étudiait à la London School of Economics. En 1966, ils cherchaient l’approbation du parlement danois pour se marier.
Henri, qui s’appellerait Henrik une fois marié, présenta à Margrethe un toi et moi bague de fiançailles de style. Ces bagues « toi et moi » comportent deux pierres principales au lieu d’une ; une pierre représente la mariée et une autre le marié. Il s’agit de mettre l’accent sur la relation entre le couple.
La société française Van Cleef et Arpels a créé le toi et moi bague ornée d’une paire de diamants taille carrée montés en diagonale sur l’anneau en or jaune.
Margrethe n’est cependant pas la première épouse royale à recevoir une de ces bagues. Joséphine de Beauharnais a reçu une bague à deux pierres de Napoléon Bonaparte, la bague qui aurait déclenché cette tendance.