Dans l’épisode récent de l’émission « Affaire conclue », un vendeur a décidé de quitter la salle après l’estimation de son objet. Visiblement en colère, il a préféré mettre un terme aux enchères plutôt que de se confronter aux acheteurs.
L’importance de l’estimation dans Affaire conclue
Dans « Affaire conclue », chaque vendeur doit passer par l’estimateur pour évaluer la valeur réelle de son objet. Harold Hessel, l’expert de l’émission, est chargé de cette tâche délicate. Sa compétence est reconnue et il bénéficie de la confiance des organisateurs.
Dans cet épisode, Christophe, le vendeur, a fait appel à Harold Hessel pour estimer un tableau d’art attribué à Salvador Dali. Il espérait obtenir une somme intéressante grâce à cette vente.
Une estimation décevante
Après avoir minutieusement examiné le dessin avec une loupe, Harold Hessel a donné son estimation. Malheureusement, celle-ci ne correspondait pas du tout aux attentes de Christophe. Déçu, il a décidé de quitter l’émission.
Selon l’expert, il s’agit en réalité d’une copie du tableau original, réalisée par un autre artiste que Salvador Dali. Cette information a fortement influencé la valeur de l’objet.
La réaction de Christophe
Sophie Davant, l’animatrice d' »Affaire conclue », a tenté de trouver un terrain d’entente, mais en vain. Christophe a préféré partir sans même rencontrer les acheteurs, convaincu que son objet valait bien plus que l’estimation donnée.
Harold Hessel a expliqué que cette copie datant des années 1930 ne valait que près de 150 euros, bien loin des milliers d’euros que pourrait valoir l’original. Face à cette réalité, Sophie Davant a exprimé sa compassion envers Christophe.
Un refus catégorique
En entendant le montant estimatif, Christophe s’est immédiatement énervé. Il avait espéré réaliser un bénéfice significatif, mais il n’allait rien retirer de la vente de son tableau. Il a donc préféré garder son objet et chercher une meilleure affaire ailleurs.
Cet épisode d' »Affaire conclue » a montré à quel point les estimations peuvent être déterminantes dans la décision d’un vendeur. Dans ce cas précis, l’offre jugée intolérable a conduit à l’interruption des enchères et à la déception du vendeur.
