La jeune influenceuse Poupette Kenza est au cœur de l’actualité depuis plusieurs mois, suscitant de vives controverses. En mars dernier, Le Parisien a révélé une information inattendue concernant cette personnalité médiatique. Selon le journal, Poupette Kenza a été confrontée à la justice suite à des signalements de maltraitance envers son enfant.
Une affaire médiatisée
Tout a commencé avec l’hospitalisation de son fils, qui s’était blessé à la tête lors d’un accident domestique. Cet événement a rapidement alerté les autorités compétentes.
Suite à cette hospitalisation, une enquête a été ouverte à l’encontre de l’influenceuse pour « soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation« , selon les informations relayées par Actu.fr. Les rumeurs ont circulé, suggérant que Poupette Kenza aurait fait tomber son enfant, mais l’intéressée a rapidement nié ces allégations.
Une députée accuse Poupette Kenza de diffusion d’images pédopornographiques
Une nouvelle affaire a éclaté le 18 mai dernier lorsque Sarah Tanzili, députée Renaissance de la 13e circonscription du Rhône, a saisi le procureur de Rouen en accusant Poupette Kenza de « négligence, mise en danger d’enfants et diffusion d’images pédopornographiques ». La députée a exprimé ses motivations sur Twitter, déclarant que Poupette Kenza aurait publié des images de ses enfants qui pourraient être assimilées à de la pédopornographie. « Jamais une mère ne peut ainsi exhiber son enfant. Face à ça, nous devons être intraitables », a déclaré Sarah Tanzili.
Ces accusations ont provoqué une réaction de Poupette Kenza le 22 mai. Elle a déclaré à Paris-Normandie : « Madame Tanzili ne s’est pas contentée de porter de fausses accusations ! Elle m’a carrément jetée en pâture sur Internet et elle a surtout délibérément remis en cause une décision de justice, des faits pour lesquels une enquête de police et une enquête sociale ont déjà eu lieu. » Selon Poupette Kenza, ces accusations font référence à « deux anciennes vidéos signalées sur Twitter, pour lesquelles la justice a déjà enquêté et a reconnu mon innocence ». Elle ajoute également : « Je suis le bouc émissaire pour ses propres intérêts politiques. » En conséquence, Poupette Kenza envisage de limiter l’exposition de ses enfants sur les réseaux sociaux.
La controverse persiste
La situation entourant Poupette Kenza continue de susciter des débats et des réactions divergentes. Les allégations de maltraitance envers son enfant et de diffusion d’images présumées pédopornographiques ont gravement entaché sa réputation et donné lieu à des enquêtes judiciaires. Tandis que Poupette Kenza nie ces accusations et affirme avoir été injustement ciblée, la députée Sarah Tanzili maintient ses accusations en soulignant l’importance de protéger les enfants et de prendre des mesures strictes face à de telles situations.
L’affaire Poupette Kenza met en lumière les responsabilités des influenceurs sur les réseaux sociaux et la nécessité d’une réglementation plus stricte en matière de protection de l’enfance. Les réactions du public restent mitigées, avec certains soutenant l’influenceuse et d’autres appelant à la vigilance et à des actions rigoureuses envers toute forme de maltraitance ou d’exploitation des enfants.
L’issue de cette affaire demeure incertaine, et il appartiendra à la justice de démêler les faits et de prendre les décisions appropriées. En attendant, l’affaire Poupette Kenza continue d’alimenter les discussions et de susciter de nombreuses interrogations quant aux responsabilités des influenceurs dans l’espace numérique et à la protection des enfants sur les réseaux sociaux.