Affaire Macron : Les vérités cachées de l’agression du neveu de Brigitte Macron enfin révélées

Ce lundi 15 mai, l’interview exclusive d’Emmanuel Macron par Gilles Bouleau a captivé des millions de téléspectateurs sur TF1. Le Président de la République a abordé des sujets d’actualité tels que le pouvoir d’achat et les impôts touchant les classes moyennes.

L’entretien d’Emmanuel Macron avec Gilles Bouleau suivi d’une terrible nouvelle

Cependant, peu de temps après cette interview, une terrible nouvelle est parvenue à Emmanuel Macron : Jean-Baptiste Trogneux, le petit-neveu de son épouse Brigitte, a été agressé alors qu’il rentrait chez lui, situé dans le centre-ville d’Amiens. Jean-Baptiste est responsable de la chocolaterie familiale dans la Somme et habite juste au-dessus de la boutique.

D’après le témoignage de son père, Jean-Alexandre Trogneux, environ dix personnes se sont rassemblées aux alentours de 22 heures devant le commerce familial. C’est à ce moment-là que le jeune homme de 29 ans aurait été pris à partie, subissant des coups de poing et des coups de pied.

Les déclarations contradictoires des personnes impliquées dans l’affaire

Malgré ses tentatives pour se protéger en se recroquevillant, il présente des blessures à la tête, au visage, au genou et à un doigt. Suite à cette agression, huit personnes ont été placées en garde à vue, dont six hommes et deux femmes, selon les informations rapportées par BFM TV. Certaines d’entre elles ont déjà exprimé leur version des faits. Trois individus ont été libérés de garde à vue et ont partagé leur témoignage avec RMC.

Les personnes impliquées affirment qu’elles n’avaient pas l’intention de passer à tabac le petit-neveu de Brigitte Macron, mais qu’elles se sont en réalité défendues contre lui. Selon leur récit, leur rassemblement avait pour but de manifester leur mécontentement à l’égard d’Emmanuel Macron, mais en aucun cas de s’en prendre à un membre de sa famille.

Une affaire qui soulève des questions sur la sécurité et les tensions politiques

Elles soutiennent que Jean-Baptiste aurait poussé l’un de leurs camarades sur une poubelle, provoquant ainsi leur réaction. Les personnes interrogées affirment avoir agi en légitime défense. Toutefois, Jean-Baptiste aurait immédiatement porté plainte au commissariat, alléguant des violences incluant des coups de poing et des coups de pied.

Les versions des faits divergent, créant ainsi une situation de contradictions. Les personnes impliquées dans l’affaire considèrent qu’il s’agit d’un malentendu et se perçoivent comme les véritables victimes de cette altercation. Elles expriment leur frustration face à la tournure des événements, soulignant que la personne de la boutique aurait tenté d’agresser l