Sandrine Bonnaire, une actrice française, a récemment révélé des détails bouleversants sur la mort de sa mère, qui s’est produite le 23 août dernier dans un Ehpad. Selon Sandrine Bonnaire, sa mère aurait été maltraitée et négligée par les employés de l’établissement, ce qui aurait conduit à son décès.
Des allégations étonnantes
Sandrine Bonnaire, l’épouse de Guillaume Laurant, a pris la parole dans une vidéo partagée sur le compte Instagram de Jean-Philippe Janssens pour dénoncer les conditions dans lesquelles sa mère est décédée. L’actrice a déclaré vouloir « dénoncer un dysfonctionnement, des maltraitances, des négligences, au sein de l’Ehpad où [sa] mère résidait », bien qu’elle n’ait pas divulgué le nom ou la localisation de l’Ehpad.
De plus, elle an ajouté que sa mère « [n’avait] aucune maladie », ce qui aggrave la situation. Sandrine Bonnaire et sa famille ont décidé de mener leur propre enquête en raison du manque d’informations sur les circonstances de la mort de sa mère. Ils ont collecté suffisamment de preuves pour envisager de porter plainte.
Sandrine Bonnaire a déclaré qu’elle était prête à se battre pour obtenir justice pour sa mère dans une Démarche de justice. « Je sais que ce sera un long combat, mais je le mènerai jusqu’au bout », a-t-elle déclaré, soulignant son désir de « redonner de la dignité à ma maman ». L’actrice an annoncé la mort de sa mère lors d’une interview télévisée environ un mois après la publication de la vidéo. Elle avait déjà exprimé ses inquiétudes quant aux circonstances entourant le décès de sa mère à ce moment-là, précisant qu’elle cherchait des réponses avec sa famille.
Elle avait déclaré : « Je cherche principalement à comprendre pourquoi elle est décédée… et comment. » La famille est en train de chercher, mais il est trop tôt pour en discuter. Je ne dispose pas encore de toutes les preuves nécessaires. Elle n’était pas assez vieille et malade pour partir.
Les allégations troublantes de maltraitance envers les résidents d’Ehpad ont déjà suscité une grande attention médiatique et l’indignation du public, mettant en lumière la nécessité d’une surveillance et d’une réglementation renforcées dans ces établissements afin de protéger les droits et la dignité des personnes âgées.