© Palais Royal, Bruxelles/Koninklijk Paleis, Bruxelles/Palais Royal, Bruxelles/Königlicher Palast, Brüssel Photographe : Michel Gronemberger
La princesse Elisabeth de Belgique a ouvert la voie à une nouvelle génération d’héritiers en Europe pour assumer son rôle dans un paysage en constante évolution.
Elisabeth Thérèse Marie Hélène est née à 21h58 le 25 octobre 2001, première des quatre enfants du duc et de la duchesse de Brabant de l’époque.
Comme c’est le cas pour de nombreux premiers-nés, elle a façonné le parcours scolaire du reste de ses frères et sœurs : tous les quatre ont fréquenté plus ou moins les mêmes écoles, au moins jusqu’aux premières années du lycée.
Mais sa « formation » pour devenir la future reine des Belges a fait d’elle une référence pour les autres futurs membres de la famille royale en Europe.
En particulier, il semble que la princesse Leonor d’Espagne ait trouvé en la princesse Elisabeth un modèle : toutes deux ont fréquenté l’UWC Atlantic au Pays de Galles, une école internationale qui visait clairement à les préparer toutes les deux à faire face aux aspects internationaux de leurs futurs rôles. .
La princesse Elisabeth a choisi d’abandonner sa formation militaire avant de s’inscrire à l’université, ce qui s’appliquera également à la princesse Leonor ; cependant, alors que l’héritier belge n’a suivi qu’un an de formation, la future reine d’Espagne sera cadette depuis trois ans.
La princesse Elisabeth est diplômée d’une académie militaire après une année d’études en sciences sociales et militaires, thématique qu’elle a transposée dans son université.
Depuis octobre 2021, elle est inscrite au Lincoln College de l’Université d’Oxford, où elle étudie l’histoire et la politique.
Depuis son premier engagement officiel à l’âge de cinq ans, elle occupe progressivement une place de plus en plus importante dans l’agenda belge. Elle a récemment accompagné son père à deux des plus grands événements royaux de 2023 : le couronnement du roi Charles III (la princesse Elisabeth était avec son père pour la réception) et le mariage du prince héritier Hussein de Jordanie avec la princesse Rajwa.
D’après ce que nous avons vu d’elle en public, elle semble avoir hérité de nombreux traits qui rendent ses parents si populaires : la réserve du roi Philippe et la douceur de la reine Mathilde, la préparation du roi et l’empathie de la reine, la détermination tranquille de son père et les soins de sa mère. pour les autres.
Elle a également apporté sa propre touche à son histoire et continuera sans aucun doute à le faire, soutenue par ses parents et sa famille dans son ensemble.
Le seul inconvénient de sa préparation, du moins jusqu’à présent, est le manque d’expérience dans l’enseignement supérieur belge : elle a terminé ses études secondaires et fréquente une université au Royaume-Uni. Et même si c’est une excellente occasion d’affiner ses compétences diplomatiques, ses détracteurs pourraient dire qu’elle n’a pas suffisamment mis en lumière l’excellence éducative belge.
Cependant, nous ne savons pas ce que son avenir lui réserve. Avec chaque discours qu’elle a prononcé et chaque événement auquel elle a assisté, la princesse Elisabeth a démontré qu’un jour, elle constituera un atout phénoménal pour son pays, ainsi qu’un excellent mentor pour tous les autres membres de la famille royale qu’elle rencontrera sur son chemin.