Une princesse au cœur de la famille royale de Monaco
Camille Gottlieb, la benjamine de la princesse Stéphanie de Monaco, s’est récemment confiée dans une interview poignante pour le magazine Point de Vue. À 25 ans, bien qu’elle n’ait pas de statut dynastique, Camille n’en mène pas moins une vie active, se consacrant notamment à diverses causes sociales à travers son association, Be Safe, qui lutte contre les dangers de l’alcool. Malgré son engagement public, elle préserve la confidentialité de sa vie personnelle, ne révélant que récemment l’identité de son compagnon sur les réseaux sociaux.
Une relation privilégiée avec le prince Rainier III
Dans cet entretien exclusif, Camille Gottlieb évoque ses liens avec la famille royale monégasque. Au-delà des obligations et des titres officiels, elle souligne la relation chaleureuse qu’elle entretient avec les différents membres de la famille, y compris le prince Albert II et la princesse Charlène. Cependant, un souvenir demeure particulièrement ancré dans sa mémoire : celui de son grand-père, le prince Rainier III.
Des souvenirs d’enfance inoubliables avec “Papoune”
Disparu en 2005, le prince Rainier III, souverain emblématique de Monaco pendant plus d’un demi-siècle, a laissé une empreinte indélébile dans le cœur des Monégasques et, plus intimement, dans celui de sa petite-fille. Camille partage avec émotion ses souvenirs d’enfance auprès de celui qu’elle appelait affectueusement “Papoune”. Ces moments précieux, empreints de tendresse et de complicité, continuent de l’habiter.
“C’était un homme extraordinaire, protecteur, plein d’humour et très attentionné. Nous avions l’habitude de partager des déjeuners en tête-à-tête tous les mercredis au palais”, confie-t-elle. “Je me présentais souvent déguisée et commandais mes plats préférés. Même lorsqu’il était pris, mon grand-père trouvait toujours du temps pour moi”, se souvient-elle avec nostalgie.
Un grand-père dévoué au-delà de ses responsabilités royales
Camille Gottlieb décrit un grand-père qui, malgré ses nombreuses responsabilités en tant que souverain, n’a jamais négligé son rôle auprès de sa petite-fille. “J’étais la petite rebelle de la famille, et il savait comment me gérer. Il prenait son rôle de grand-père très sérieusement”, raconte-t-elle. Elle relate notamment un épisode touchant où, ayant perdu son doudou favori, son grand-père fit confectionner une réplique parfaite pour apaiser sa tristesse. “Quand il me l’a donnée, j’étais la plus heureuse. J’en ai conservé un fragment que je garde précieusement”, ajoute-t-elle.
Une princesse dans l’âme
Bien que Camille Gottlieb ne porte pas de titre royal, les attentions de son grand-père lui ont toujours donné l’impression d’être une princesse. Ces souvenirs impérissables témoignent d’un lien familial fort, transcendant les protocoles et les responsabilités officielles. À travers ses confidences, elle rend un hommage émouvant à un homme qui fut non seulement un prince pour son pays mais aussi un grand-père aimant pour sa famille.
